L’ATELIER DE CUISINE CONTEMPORAIN|
C’est l’éveil d’une belle saison pour L’Innocence avec le plein de créativité, à la mesure de ce néo-atelier contemporain de gastronomie où la table vertueuse exploite et concentre les saveurs sous toutes ses palettes et où chaque produit est magnifié selon l’humeur et le marché de saison.
En point de mire de ce micro-resto de 16 couverts lové au cœur du quartier de l’urban-chic South of Pigalle, outre le lifting déco mis à l’honneur de cette nouvelle saison, une nouvelle ère par l’arrivée de Margaux Finix et Bruno Laporte venue parfaire le suite de l’histoire de l’Innocence imaginée par Jonathan Caron en salle.
Résultat, une cuisine de l’instant, spontanée, apparemment simple mais construite dans la complexité et l’échange marquée par le binôme de deux jeunes chefs au talent foisonnant.
C’est l’éveil d’une belle saison pour L’Innocence avec le plein de créativité, à la mesure de ce néo-atelier contemporain de gastronomie où la table vertueuse exploite et concentre les saveurs sous toutes ses palettes et où chaque produit est magnifié selon l’humeur et le marché de saison.
En point de mire de ce micro-resto de 16 couverts lové au cœur du quartier de l’urban-chic South of Pigalle, outre le lifting déco mis à l’honneur de cette nouvelle saison, une nouvelle ère par l’arrivée de Margaux finix et Bruno Laporte venue parfaire le suite de l’histoire de l’innocence imaginée par Jonathan Caron en salle .Résultat, une cuisine de l’instant, spontanée, apparemment simple mais construite dans la complexité et l’échange marquée par le binôme de deux jeunes chefs au talent foisonnant.

L’AMBIANCE|

Nouvelle saison, nouvelle déco.
Revisitée par l’architecte d’origine, Caroline Tissier, la salle qu’éclaire un jeu de suspensions arythmiques en bois brut confronte avec sobriété les matières sur toutes les nuances de gris.
Froid comme l’acier de la cuisine ouverte, lumineux comme le béton ciré tadlak des murs enduits, sombre et profond pour les tables enveloppées de cuir grainé surpiqué façon sellier, chaud et épais pour l’assise des fauteuils.
Chaque détail marque l’esprit chic et confortable du lieu aux allures de boudoir contemporain.
L’art de la table lui, reste dans la confidence.
Difficile de se lasser des belles céramiques de Judith Lasry et de Michiko Seki ou chaque pièce est unique et résonne de la matière brute façonnée à la main.
De même, l’art floral du Maître Ikebana Kenji Tsustumi vient souligner d’un geste suspendu, la volonté d’élégance et de simplicité de ce restaurant-écrin qui de l’Innocence, à l’intuition, jusqu’à l’accomplissement, décline avec talent les plaisirs d’une table jeune, accueillante et sincère.
Nouvelle saison, nouvelle déco.
Revisitée par l’architecte d’origine, Caroline Tissier, la salle qu’éclaire un jeu de suspensions arythmiques en bois brut confronte avec sobriété les matières sur toutes les nuances de gris.
Froid comme l’acier de la cuisine ouverte, lumineux comme le béton ciré tadlak des murs enduits, sombre et profond pour les tables enveloppées de cuir grainé surpiqué façon sellier, chaud et épais pour l’assise des fauteuils.
Chaque détail marque l’esprit chic et confortable du lieu aux allures de boudoir contemporain.
L’art de la table lui, reste dans la confidence.
Difficile de se lasser des belles céramiques de Judith Lasry et de Michiko Seki ou chaque pièce est unique et résonne de la matière brute façonnée à la main.
De même, l’art floral du Maître Ikebana Kenji Tsustumi vient souligner d’un geste suspendu, la volonté d’élégance et de simplicité de ce restaurant-écrin qui de l’Innocence, à l’intuition, jusqu’à l’accomplissement, décline avec talent les plaisirs d’une table jeune, accueillante et sincère.
LA CUISINE|
La cuisine proposée par Margaux finix et Bruno Laporte est principalement légumière. Tout en étant sauvage, le végétal domine. Bien sûr, cette cuisine suit les saisons, l’humeur et les émotions. Mais c’est avant tout un moyen pour elles de dénicher de petits producteurs.
Chaque produit est délicatement sourcé et goûté avant d’être simplement cuisiné. Et c’est ainsi que toute leur créativité entre en scène avec un produit totalement respecté.
La cuisine proposée par Margaux finix et Bruno Laporte est principalement légumière. Tout en étant sauvage, le végétal domine. Bien sûr, cette cuisine suit les saisons, l’humeur et les émotions. Mais c’est avant tout un moyen pour elles de dénicher de petits producteurs..
Chaque produit est délicatement sourcé et goûté avant d’être simplement cuisiné. Et c’est ainsi que toute leur créativité entre en scène avec un produit totalement respecté.




Les chefs
Margaux Finix - Bruno Laporte
Le Duo
Né d’une évidence pour chacun, le challenge s’est vite imposé comme terrain de jeu d’un bel horizon gustatif construit sur leur diversité et leurs parcours souvent croisés, William Ledeuil Pascale Barbot pour Margaux Finix, William Ledeuil Fulgurances pour Bruno Laporte.


Le gérant
Jonathan Caron
Formé auprès des plus grands pendant plus de 12 ans, il s’est donné les moyens d’écrire son histoire comme il l’entend. Sa première belle expérience fut auprès du chef Bernard Pacaud à L’Ambroisie où il comprend le sens de la cuisine.
Il intègre ensuite La Brigade du chef Christophe Pelé et c’est grâce à celui qu’il surnomme son mentor, qu’il découvrira le goût et l’amour de la cuisine ainsi que le respect du produit. Après cette expérience humaine hors du commun, comme il aime à le préciser, il rejoint les équipes de l’Atelier Rodier avec le chef Santiago Torrijos. C’est à cette époque qu’il découvre la cuisine d’Anne et leur philosophie culinaire commune. Il part ensuite chez OKA avec le chef Raphaël Rego. Aujourd’hui, il ouvre l’Innocence.
